Critique de livre : « Vérité, mensonges et publicité »

Ruth Stanat

Études de marché et stratégie internationales SISDans le cadre de notre série de critiques de livres de marketing, nous avons récemment examiné « Truth, Lies and Advertising : the Art of Account Planning » de Jon Steel. Bien qu'il soit axé sur la publicité, le contenu du livre peut facilement être appliqué à d'autres branches des services marketing. Nous étions particulièrement impatients de lire son point de vue sur les études de marché dans les campagnes publicitaires.

L'objectif de Steel est de proposer un nouveau modèle de publicité basé sur la complexité des personnes et de leurs émotions. Le modèle intègre un partenariat de parties prenantes dans une campagne publicitaire :

  • le point de vue commercial du client
  • le point de vue créatif de l'agence
  • opinions and prejudices of the people at whom advertising is aimed; In other words, the consumer needs to be probed for insecurities, motivations, habits, and prejudices

En « triangulant » ces perspectives, on en parvient à se rapprocher de la vérité. Ce modèle repose sur une appréciation du chaos. La justification de l'acier est que la somme du tout est supérieure aux parties individuelles. À l’inverse, si une perspective domine, la qualité et l’efficacité d’une campagne publicitaire peuvent en souffrir. Le chaos, indique Steel, peut être utile pour fournir le meilleur travail aux clients.

  • Environnement affectant la recherche sur la publicité
  • Dans quel genre d’humeur cela les met-il ?
  • Chance (devrait être encouragée)

Steel poursuit en établissant un parallèle inattendu entre la physique quantique et la publicité, en référence au chaos. En fin de compte, Steel laisse entendre que le chaos et le désir de perspectives contradictoires en physique quantique sont similaires à son approche des perspectives diverses.

Steel continues to define Advertising according to Jeff Goodby’s definition: getting into one’s mind and changing one’s mind, but not telling one how to think. Along these lines, Steel asserts that Advertising cannot sell something; instead it influences the mind, which can influence purchasing.

Alors, la publicité, art ou business ? Goodby a déclaré que la publicité était l'affaire de changer les mentalités. Il apparaît donc que la publicité est un mélange d’art et de commerce, orienté vers le commerce. Concevoir la publicité principalement comme un art est problématique car cela soulève le problème de placer les intérêts du créatif avant ceux du client. L'acier implique que les annonceurs doivent comprendre que l'objectif de leurs clients est de vendre des produits ou des idées.

Par ailleurs, la publicité est-elle une science ou un art ? Steel affirme que la publicité n’est pas une science car elle néglige la complexité des émotions humaines. La science suppose que l’on peut démonter les composants et reconstruire les choses selon le modèle de machine de Margaret Wheatley. Des données trop scientifiques peuvent, selon Steel, se concentrer sur les arbres et négliger la forêt.

Steel writes about the power of the unscientific method. He cites evidence that some of the best brains, including Einstein, Oppenheimer (a physicist), and Watson/Crick, deviated from the scientific method by combining science and art (intuition, fantasy). Steel implies that this occurred because these great thinkers realized that the scientific method could not explain everything.

Contextuellement, la publicité se heurte à plusieurs problèmes pour atteindre les consommateurs. La publicité s'adresse aux gens et tente de leur dire quoi faire. Les messages ont été surutilisés. Par conséquent, les gens n’aiment pas la publicité. Steel propose que la Sainte Trinité dans la publicité se compose de :

  • simplicité
  • bon sens
  • la créativité

Idées sur la recherche
Steel asserts that clients assume that those on the outside share their same amount of knowledge, and that it was the role of the planner needs to change this. He indicates that the focus group moderator should have the power to introduce a completely new idea and deviate from the discussion guide. For example, he worked on a project on “Disability Insurance,” which by itself is a word that makes people shudder. Exploratory research was employed to allow the respondent to freely think and speak her thoughts. He found that respondents considered disability insurance as a necessary evil. As a result, the resulting ad campaign focused on the wide picture of the future and the realities that would impact some of the population. The message was that the company had your interests at heart.

Steel also claims that researchers need to look at what is not being said. Citing the example of a project for KPMG Peat Marwick, he had conducted many interviews with high-level executives. All research interviews consisted of the respondent telling the interviewer that what they were saying was all confidential. Hence, he came up with the idea to make a slogan conveying the exciting, stealthy, and confidential nature of what KPMG did.

En fin de compte, le livre présente des exemples revigorants de publicités créatives. Son style d'écriture facile à lire est cohérent avec ses théories générales sur la simplicité et le bon sens en publicité. Ses théories sur les campagnes publicitaires sont utiles pour conceptualiser la campagne publicitaire la plus efficace. Notre seul déplaisir était que ses idées sur la recherche n’apportaient pas grand chose en valeur à celles d’autres auteurs du genre, comme Clotaire Rapaille auteur du « Code de la culture ».

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Ruth Stanat

Fondatrice et PDG de SIS International Research & Strategy. Forte de plus de 40 ans d'expertise en planification stratégique et en veille commerciale mondiale, elle est une référence mondiale de confiance pour aider les organisations à réussir à l'international.

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